Serait-il séparé depuis une éternité ...
Au fond de moi je ne t’oublierai jamais
J’ai l’âme en détresse
Ô ma déesse
Tant je t'aimais t'aime t'aimerai
Sans toi
Ma chair s’hérisse à chaque pensée
Sans toi
Ma vie chavire à chaque fin d’année
Je ne sais pas
A qui vais-je me confier ici-bas
Je ne sais plus
Qu'hier il a plu
Et devant moi
Au bord du chemin de croix
Il n’y a que le cimetière silencieux
Et un homme malheureux
Même si nous nous rencontrions je craindrais que tu ne puisses me reconnaître
Regarde-moi
Je n’ai plus vingt ans tu vois
Vais-je pouvoir avec ton cœur renaître
L’autre jour
J’ai rêvé que je rentrais à la maison de la tour
Par la petite fenêtre de notre chambre je t’ai vu te coiffer
Nous nous regardions sans rien dire bouche bée
Des larmes ruisselaient sans cesse
Ô ma déesse
Sommes-nous toujours sous la même lune
De miel à Venise s'accrochant à la lagune
Ce matin il fait si froid
Avec toujours ses mêmes voix
Qui tournoient
Autour de moi autour de toi
Serais-tu la belle au bois dormant
Accompagnant mon vague à l'âme
Ma peine entière en verglas
Quand chaque année sonne le glas
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