La fenêtre de ma chambre est bien fermée
Accablé et anéanti sans ma Cassiopée
Il y a longtemps que je m’en passe
Depuis qu’elle est partie vers cet infini espace
Ce soir le plafond veux me dévorer
Avec en fond un filigrane de Céphée
Ce soir tout est plus que coutume
J'ai mal à la tête de ces cornes de brume
Qui sonnent minuit et grondent dans mes tympans
Me rappelant d’avoir laisser passer le temps
Sans profiter suffisamment de notre attirail
D’avoir aussi éteint le feu de mes entrailles
Mon repaire est froid et sans passion
Il lui manque la chaleur de ma constellation
Toute la chambre cherche sa douce présence
Il me reproche la fuite de son existence
Mais cette nuit elle est réapparue dans ma conscience
Et je ressens bien le mal de son absence
La fenêtre de ma chambre est bien fermée
Désabusé et désenchanté sans ma Cassiopée
Il y a longtemps que je m’en passe
Depuis qu’elle est partie vers cet infini espace
Cette nuit ma chambre je l’ai bien dévoré
Avec l'aide d'une colonie de céphe pygmée
Ce soir tout est plus que coutume
J'ai le coeur plus léger qu'une plume
Qui détonne et vol dans mes pensées turbulentes
Me rappelant d’avoir abandonné nos envies truculentes
Sans avoir apporté la vie à notre union
D'avoir su dire je t'aime sans raison
Mon repaire est froid et sans passion
Il lui manque le parfum de ma constellation
Toute la chambre a perdu sa substance
Il me reproche la fuite de son excellence
Mais cette nuit polaire est la dernière
Et je sens mes veines couler vers un nouvel enfer
Accablé et anéanti sans ma Cassiopée
Il y a longtemps que je m’en passe
Depuis qu’elle est partie vers cet infini espace
Ce soir le plafond veux me dévorer
Avec en fond un filigrane de Céphée
Ce soir tout est plus que coutume
J'ai mal à la tête de ces cornes de brume
Qui sonnent minuit et grondent dans mes tympans
Me rappelant d’avoir laisser passer le temps
Sans profiter suffisamment de notre attirail
D’avoir aussi éteint le feu de mes entrailles
Mon repaire est froid et sans passion
Il lui manque la chaleur de ma constellation
Toute la chambre cherche sa douce présence
Il me reproche la fuite de son existence
Mais cette nuit elle est réapparue dans ma conscience
Et je ressens bien le mal de son absence
La fenêtre de ma chambre est bien fermée
Désabusé et désenchanté sans ma Cassiopée
Il y a longtemps que je m’en passe
Depuis qu’elle est partie vers cet infini espace
Cette nuit ma chambre je l’ai bien dévoré
Avec l'aide d'une colonie de céphe pygmée
Ce soir tout est plus que coutume
J'ai le coeur plus léger qu'une plume
Qui détonne et vol dans mes pensées turbulentes
Me rappelant d’avoir abandonné nos envies truculentes
Sans avoir apporté la vie à notre union
D'avoir su dire je t'aime sans raison
Mon repaire est froid et sans passion
Il lui manque le parfum de ma constellation
Toute la chambre a perdu sa substance
Il me reproche la fuite de son excellence
Mais cette nuit polaire est la dernière
Et je sens mes veines couler vers un nouvel enfer
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