Effleurant cette surface amère avec méfiance
A-t-il vraiment découvert sur ce sable blanc
Une amphore safran vide remplie de sang
D'un amour perdu en pleine souffrance
Enjôlée par des vagues hautes et déchaînées
Dupée à travers une écume aoûtée et brune
Un vent ailé chaud Saharien fît s’échouer
La belle abandonnée au bord de ses grandes dunes
A-t-il oublié tous ses maux d'amour en mot
L'obligeant de se taire Ô désir muet
S'est-elle noyée sans hurler dans ses sanglots
Pour damner à jamais ses lourds secrets
Entendit-il un bruit sourd au loin d'une sirène
Un chant mélodieusement cruel qui lui rappelle
Cette âme isolée à la chair asséchée sans veine
Pour qu'il hante sa pensée en un souvenir immortel
A-t-il vraiment découvert sur ce sable blanc
Une amphore safran vide remplie de sang
D'un amour perdu en pleine souffrance
Enjôlée par des vagues hautes et déchaînées
Dupée à travers une écume aoûtée et brune
Un vent ailé chaud Saharien fît s’échouer
La belle abandonnée au bord de ses grandes dunes
A-t-il oublié tous ses maux d'amour en mot
L'obligeant de se taire Ô désir muet
S'est-elle noyée sans hurler dans ses sanglots
Pour damner à jamais ses lourds secrets
Entendit-il un bruit sourd au loin d'une sirène
Un chant mélodieusement cruel qui lui rappelle
Cette âme isolée à la chair asséchée sans veine
Pour qu'il hante sa pensée en un souvenir immortel
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